hier, j’ai échoué en essayant regarder le discours télévisé de
la chancelière allemande, mme merkel. ne pas supportant son
sang-froid, j’ai lu le texte officiel du 18/03/2020. son discours
détourne du fait, désormais bien connu, que le bundestag en
a eu connaissance plus tôt. ma question rhétorique: ce texte
depuis quand était-il prêt dans le tiroir de la chancelière?
il est vraiment difficile de refléter un nombre prévu de plus de
sept millions et demi de victimes. surtout lorsque les chances
d’éviter sont considérées tellement faibles. mais quand, trois
bonnes semaines après l’annoncement du report, le service de
presse du bundestag constate succinctement „(…) en outre
certaines analyses de risque (…) pourraient être éffectuées, si
le scénario recherché l’exige d’une vue technique“, alors je me
demande, de quelle ampleur est le manque de compassion et
de l’intérêt pour les semblables à la vue de sept millions et demi
de victimes prévus, pour partenir à une telle conclusion; et
si la distance entre l’état et la socièté est insurmontable
selon mme merkel dit: „l’état continuera à fonctionner“. mais
cette vie, qui grandit et se dévelope chez les membres individuels
d’une société est son âme et son avenir. l’état n’a qu’une fonction
serviteur et ne doit pas agiter indépendamment contre elle. donc
nous devrons redéfinir la relation entre l’état et la société de
nouveau, à l’avenir
l’histoire de l’allemagne nous apprend que ceux qui veulent
exécuter le pouvoir ne doivent pas en avoir la possibilité
pendant mes années universitaires, j’ai participé assez
longtemps à la recherche sur les écosystèmes pour pouvoir
confirmer aujourd’hui: si un modèle est bien fait, il peut
se rapprocher de la réalité de la vie. l’évolution actuelle de
la propagation de COVID-19 / SARS-CoV-2 en allemagne
est malheureusement trés proche des hypothèses de base
de ce modèle auquel le „rapport sur l’analyse des risques“ se
réfère. hélas! deux facteurs plutôt peu scientifiques peuvent
aider tous les concernés. le premier est qu’on a baclé le
travail pour le rapport. le second: le bonheur
de tout mon cœur, je vous souhaite, où que vous soyez, le
bonheur et l’espoir sans fin que nous survivrons dans l’amour
et la solidarité. à l’avenir, nous devrons changer les choses
—–
gestern scheiterte ich am versuch, die fernsehansprache der
deutschen kanzlerin anzuschauen. ihre kaltschnäuzigkeit nicht
ertragend, las ich statt den offiziellen text vom 18.03.2020. ihre
rede lenkt von der inzwischen bekannten tatsache ab, dass der
bundestag frühzeitig bescheid wusste. meine rhetorische frage:
seit wann lag dieser text fertig in der schublade der kanzlerin?
es ist eine schwierige aufgabe, eine prognostizierte zahl von
über siebenkommafünf millionen opfern zu reflektieren; vor
allem, wenn die chance als gering beziffert wird, daran etwas
ändern zu können. wenn gut drei wochen nach bekanntgabe
des berichts aber die pressestelle des bundestages lapidar
vermerkt, „(…) ergänzend könnten einige risikoanalysen (…)
durchgeführt werden, sofern das untersuchte szenario dies
fachlich erfordert“, dann frage ich, wie gross der mangel an
mitgefühl und wie verkümmert das interesse am mitmenschen
angesichts siebenkommafünf millionen prognostizierter opfer
sein muss, um zu einem derartigen schluss zu kommen; wie
unüberbrückbar die entfernung zwischen staat und gesellschaft
merkel sagt: „der staat wird weiter funktionieren“. aber jenes
leben, das in den einzelnen gliedern einer gesellschaft wächst
und sich entwickelt, ist ihre seele und ihre zukunft. der staat
hat nur eine dienende aufgabe und darf nicht eigenständig
gegen sie handeln. also werden wir das verhältnis zwischen
staat und gesellschaft in der zukunft neu definieren müssen
die geschichte deutschlands lehrt uns, dass jene, die macht
ausüben wollen, dazu keine gelegenheit bekommen sollten
während meiner universitätsjahre war ich ausreichend lange im
bereich ökosystemforschung beschäftigt, um heute konstatieren
zu können: wenn ein modell gut gemacht ist, kann es nahe an
die lebenswirklichkeit herankommen. die derzeitige entwicklung
der ausbreitung von COVID-19 / SARS-CoV-2 in deutschland
kommt leider sehr nahe an die grundannahmen jenes modells
heran, die dem „bericht zur risikoabschätzung“ zugrunde gelegt
wurden. leider. was allen betroffenen noch helfen kann, sind
zwei recht unwissenschaftliche faktoren. der erste ist, dass für
diesen bericht schlampig gearbeitet wurde. der zweite: glück
ich wünsche euch, wo immer ihr auch seid, von herzen glück und
die nie versiegende hoffnung, dass wir diese zeit überstehen in
liebe und solidarität. in zukunft müssen wir die dinge ändern
scan: pressetext der dtsch. bundesregierung vom 29.01.2013
quelle: bundestag.de/presse/hib/2013_01/02-252232
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